Christ, puissance de Dieu et sagesse de Dieu !

Par Alexandre Sarranle 5 avril 2015

Le monde dans lequel nous vivons est comme une arène où combattent toutes sortes d’idées, et la foi chrétienne ne semble pas très bien s’en sortir. Qu’est-ce que ça produit chez vous ? Des doutes, peut-être, concernant la fiabilité du christianisme ? Peut-être que vous êtes impressionné, intimidé ou complexé en tant que chrétien face à la pensée dominante qui rejette, sans sourciller, en bombant le torse, les éléments essentiels de votre foi.

À l’inverse, vous êtes peut-être un non-chrétien, et le discours puissant d’une certaine élite, relayé par les médias, vous conforte dans votre position, voire même alimente votre mépris à l’encontre des croyants. Et peut-être qu’il y en a parmi vous qui êtes entre deux eaux, un peu désorientés dans votre recherche d’un sens à la vie ; il y a tellement de discours contradictoires que vous ne savez pas à qui ou à quoi accorder du crédit.

Quoi qu’il en soit, le texte qu’on est sur le point de lire et d’étudier a été écrit dans un contexte qui est assez semblable au nôtre. C’est le premier siècle : les chrétiens sont très minoritaires, et ils subissent la pression de l’élite intellectuelle et religieuse de leur époque, notamment des responsables religieux du judaïsme de l’époque (qui sont de grands érudits, de grands théologiens). Cette élite rejette l’idée selon laquelle Jésus est le messie que les Israélites attendaient.

Et donc comme vous allez le voir, l’auteur dans ce passage veut inciter ses lecteurs à s’attacher à Jésus (ou à lui demeurer attachés) malgré l’opposition et la pression de l’élite intellectuelle et religieuse de leur temps. Il rapporte cet épisode de la vie de Jésus en particulier, dans le but de montrer à ses lecteurs que les responsables religieux d’Israël se trompent gravement au sujet de leur propre religion, puisque Jésus est, en fait, bel et bien le messie qu’ils attendaient. Et Jésus a bel et bien rempli, parfaitement, toutes les attentes qui reposaient sur le messie, de sorte qu’il n’y a pas à chercher plus loin, et il n’y a pas à se laisser intimider ou tromper par les discours sophistiqués de ceux que l’on présente comme des érudits et des spécialistes : Jésus est le salut des hommes !

Et donc le message que nous adresse ce texte aujourd’hui est le suivant : ne tombe pas dans le piège d’imaginer qu’il pourrait exister quelque chose de mieux pour ta vie que Jésus. Pour nous faire comprendre cela, le texte va nous faire considérer, successivement, les qualifications de Jésus, la mission de Jésus, et la position de Jésus.

Tenir compte des qualifications de Jésus (v. 1-8)

La première chose que dit le texte (v. 1-8), c’est que Jésus mérite que tu lui accordes plus de crédit qu’à qui que ce soit ou à quoi que ce soit d’autre. Ces versets nous rapportent le fameux épisode de la transfiguration de Jésus, où quelques disciples assistent à une sorte de consécration spectaculaire de Jésus par Dieu lui-même.

Il y a trois choses qui caractérisent cet événement : d’abord la gloire qui descend sur Jésus. Il ne fait aucun doute que c’est une gloire d’origine divine. Ce n’est pas toute la gloire de Dieu, puisque les disciples ne l’auraient pas supportée, mais c’est comme un aperçu de la gloire de Dieu. Comme un teaser ou une bande-annonce, qui dit quelque chose au sujet de Jésus. Peut-être pas explicitement que Jésus est Dieu, mais au moins que Jésus est relié à Dieu d’une manière particulière.

Le deuxième élément significatif, c’est la présence de Moïse et d’Élie avec Jésus. Ce qu’il faut comprendre, c’est que Moïse et Élie représentent à eux deux, de manière symbolique, tout l’Ancien Testament, que l’on appelait souvent à cette époque « la loi et les prophètes ». Moïse est celui qui a communiqué la loi de Dieu au peuple d’Israël, et Élie est le plus emblématique des prophètes dans l’histoire d’Israël. Et donc ces deux grands personnages apparaissent aux côtés de Jésus pour montrer qu’ils apportent leur soutien à Jésus, en quelque sorte. C’est une façon de montrer que Jésus ne vient pas en contradiction avec l’Ancien Testament, mais bien en conformité avec l’Ancien Testament, et même comme s’il en était le dénouement.

Et enfin, troisième élément : la voix qui se fait entendre du ciel, la voix de Dieu qui déclare solennellement que Jésus est son Fils, c’est-à-dire son Élu, son Envoyé spécial, et qu’il faut l’écouter, c’est-à-dire se fier à lui. Tout cet épisode de la transfiguration de Jésus a pour but de nous montrer que Jésus a reçu, sous les yeux de ces trois disciples, une sorte d’agrément divin, ou une consécration de la part de Dieu, pour son travail.

Et on ne parle pas ici d’un petit détail, ou d’une petite anecdote, que Jésus pourrait ajouter à son CV. Vous savez, des fois pour éprouver la crédibilité d’un savant, on regarde ses diplômes. Et on compare son CV avec celui d’un autre savant. « Tiens, celui-ci a un doctorat en plus ; il sait sûrement mieux que l’autre de quoi il parle ».

Et ici aussi, le texte nous présente les qualifications de Jésus. Sauf que Jésus, ses diplômes, il ne les a pas reçus de l’Université Lyon 2 ; il les a reçus de Dieu Tout-puissant ! Et il ne se balade pas avec un doctorat en poche, mais avec la gloire de Dieu sur le visage. Non seulement ça, mais Moïse et Élie ont rédigé la préface et la quatrième de couverture de sa thèse ! Et non seulement ça, mais Dieu Tout-puissant a présenté son Fils au jury, et a déclaré publiquement et solennellement que Jésus avait sa faveur, et qu’il était parfaitement qualifié pour faire sa volonté !

Et donc dans le monde, on a plein de gens qui prétendent être qualifiés pour parler de politique, d’économie, de société, de philosophie, de religion, de spiritualité, de morale, de la vie et de la mort… Et beaucoup d’entre eux nous disent que le christianisme est un conte de fées et qu’ils ont mieux à nous proposer. Je me souviens du représentant de la libre-pensée, lors d’un débat organisé à l’université par les GBU, il y a quelques semaines, qui a affirmé devant tout l’amphi, et avec beaucoup d’aplomb, que Jésus n’avait jamais existé. Et quand de grands intellectuels (prétendus) te disent ça, il y a de quoi s’inquiéter, si tu es chrétien, non ?

Mais voici comment répond l’apôtre Pierre, qui était là quand Jésus a été transfiguré :

« Ce n’est pas en suivant des fables habilement conçues que nous vous avons fait connaître la puissance et l’avènement de notre Seigneur Jésus-Christ, mais parce que nous avons vu sa majesté de nos propres yeux ; car il a reçu honneur et gloire de Dieu le Père, quand la gloire pleine de majesté lui fit entendre cette voix : Celui-ci est mon Fils bien-aimé, objet de mon affection. Nous avons entendu cette voix venant du ciel, lorsque nous étions avec lui sur la sainte montagne. Et nous tenons pour d’autant plus certaine la parole prophétique à laquelle vous faites bien de prêter attention… » (2 Pi 1.16-19)

Vous voyez : la transfiguration de Jésus a laissé des traces chez Pierre, qui est convaincu des qualifications de Jésus en tant qu’envoyé de Dieu. Jésus mérite que tu lui accordes plus de crédit qu’à qui que ce soit ou à quoi que ce soit d’autre.

De ce premier point, on peut déjà tirer l’application suivante : c’est qu’on devrait se méfier de toute philosophie, de toute vision du monde, de toute religion, de toute pseudo-intelligence et de toute « théologie » qui ne reconnaît pas la suprématie de Jésus, qui n’est pas tournée vers Jésus, et qui ne nous amène pas à lui ! Bien sûr, toute réflexion, toute confrontation d’idées est utile, la recherche séculière est utile, la philo est utile, mais rien ni personne n’est plus fiable que celui qui a été certifié par Dieu lui-même. Et donc de la même façon que les responsables Juifs qui s’opposaient à Jésus s’opposaient en fait à Moïse et à Élie, de même, ceux qui s’attaquent à Jésus aujourd’hui s’attaquent à Dieu, et du coup, à ce que Dieu a voulu faire pour les hommes par Jésus. Mais quelle était la mission de Jésus ?

Tenir compte de la mission de Jésus (v. 9-23)

Eh bien c’est le deuxième point. En effet, la deuxième chose que le texte veut nous faire comprendre, dans la suite du passage (v. 9-23), c’est que pour bien apprécier la place que Jésus doit avoir dans ta vie, il faut d’abord que tu comprennes ce qu’il est venu faire. Dans la suite du passage, ici, l’auteur va comparer deux genres de foi. D’une part la « mauvaise foi » des scribes, et d’autre part la « foi mauvaise » des disciples.

Le texte nous rapporte un certain argument qu’utilisent les scribes pour rejeter Jésus : ils disent qu’Élie doit venir avant le messie (ce qui est conforme à une prophétie de l’Ancien Testament, Ml 3.23). Et ils disent qu’Élie n’est pas venu. Or, d’après Jésus, Élie est venu : il s’agissait de Jean-Baptiste, et les scribes se sont rendus complices du rejet de Jean-Baptiste, et de son exécution. Jésus dit qu’ils « l’ont traité comme ils l’ont voulu », autrement dit, ils auraient pu reconnaître Élie, mais ils ne l’ont pas voulu. Jésus est en train de souligner les mauvaises intentions, ou la mauvaise foi, des responsables religieux.

Ce qu’il confirme juste après, lorsque Jésus fait cette remarque un peu étonnante au v. 17. On se demande peut-être qui c’est qui fait l’objet de ce reproche. Dans le contexte, la chose la plus naturelle est de considérer qu’il s’agit des scribes, qui non seulement subordonnent l’accomplissement des prophéties à leur mauvaise foi, mais en plus détournent la détresse d’un papa pour l’utiliser comme accusation contre Jésus et ses disciples. Voilà pourquoi Jésus les appelle : « race incrédule et perverse ».

Mais à côté de cette mauvaise foi des scribes, il y a la « foi mauvaise » des disciples, que Jésus décrit au v. 20, en leur disant qu’ils n’ont pas pu chasser le démon en raison de leur « petite foi ». Donc le texte met côte à côte ces deux genres de foi, qui sont tous les deux inadéquats, en fait !

Ce qu’il faut remarquer, c’est la façon dont ce passage est encadré par des références aux souffrances à venir de Jésus et à sa résurrection (v. 9, 12, 22-23). Et le point commun entre les scribes et les disciples, c’est que ni les uns ni les autres n’ont vraiment compris ce que le messie était censé faire. Les scribes ne voulaient pas d’un messie qui compromettrait leur statut et leur pouvoir au milieu du peuple. Et les disciples espéraient un messie qui serait un héros de la résistance, qui viendrait pour renverser la dictature romaine. C’est pourquoi Pierre a fait des reproches à Jésus au chapitre précédent (16.21-22), et c’est pourquoi, encore, les disciples sont « très attristés » quand Jésus parle de ses souffrances à venir et de sa mort. Et même si Jésus dit qu’il va ressusciter, ils sont tellement loin de comprendre ce que ça veut dire qu’ils sont quand même tristes !

Donc il y a deux types de foi, tous les deux inadéquats, parce que ni la mauvaise foi des scribes, ni la foi mauvaise des disciples, ne comprend ce que le messie est vraiment venu faire. Jésus, lui, l’a compris ; et c’est pourquoi il rappelle à ses disciples au v. 9 qu’ils ne doivent pas se mettre à témoigner publiquement de son avènement en tant que messie avant que sa mission soit accomplie, c’est-à-dire avant sa résurrection. C’est par ses souffrances, sa mort et sa résurrection, en effet, que le messie devait accomplir sa mission et entrer dans son règne. Sans souffrance, mort et résurrection, vous n’avez pas le bon messie, et si vous n’avez pas le bon messie, votre foi est inadéquate.

Voilà pourquoi je disais que pour bien apprécier la place que Jésus doit avoir dans ta vie, il faut d’abord que tu comprennes ce qu’il est venu faire. Et qu’est-ce qu’il est venu faire ? Il est venu exprès pour souffrir, mourir et ressusciter, parce que c’était précisément le moyen de notre délivrance. Jésus a voulu se substituer aux croyants sur la croix où la colère de Dieu s’est déversée sur lui plutôt que sur nous. Il a souffert pour nous délivrer de la dette de nos péchés. Mais il est aussi ressuscité pour nous. Par sa résurrection, la suprématie de Jésus a été clairement manifestée. Il est le Sauveur suprême et vivant. Le messie a délivré son peuple, il a triomphé de tous ses ennemis, et il a établi son règne invincible au profit de tous ceux qui s’attachent à lui par la foi !

Mais si on ne comprend pas vraiment ce que Jésus est venu faire, on ne va pas vraiment apprécier non plus la place qu’il est censé avoir dans notre vie. C’est un peu comme si on vous offrait un objet très rare, mais que vous ne sachiez pas à quoi il sert. Qu’est-ce que vous en feriez ? Vous le rangeriez sans doute sur une étagère quelque part, ou qui sait, peut-être même au garage ou au grenier. Alors que cet objet a le potentiel de changer votre vie quotidienne ! Mais vous ne savez pas à quoi il sert.

Et de nos jours, on entend plein de discours sur Jésus : le grand penseur, le pacifiste, le prophète, le révolutionnaire, le grand exemple d’amour et de tolérance, etc. Mais si le Jésus dont on vous parle n’est pas le Jésus de la croix, le messie qui se substitue à son peuple pour le délivrer de ses péchés et de la mort, alors ce n’est pas le vrai messie ! Comme le dit l’apôtre Paul :

« Nous, nous prêchons Christ crucifié, scandale pour les Juifs et folie pour les païens, mais pour ceux qui sont appelés, tant Juifs que Grecs, Christ, puissance de Dieu et sagesse de Dieu. » (1 Co 1.23-24)

Tenir compte de la position de Jésus (v. 24-27)

Alors qu’est-ce qu’on a vu jusqu’à présent, à travers ce passage ? D’abord, Jésus mérite que tu lui accordes plus de crédit qu’à qui que ce soit ou à quoi que ce soit d’autre. Ensuite, pour bien apprécier la place que Jésus doit avoir dans ta vie, il faut d’abord que tu comprennes ce qu’il est venu faire. Et maintenant, troisièmement et dernièrement, ce que Jésus est en mesure de t’offrir dépasse de loin tes plus folles espérances.

Pour finir, le texte rapporte une petite histoire, où il est question d’une taxe bien particulière, c’est celle que devaient payer tous les Israélites chaque année au profit du Temple. C’est-à-dire que tous les Juifs, depuis l’institution du culte lévitique (à l’époque de Moïse), devaient payer une contribution annuelle qui devait servir à financer le lieu de culte. Et à quoi servait ce lieu de culte ? C’est Dieu qui l’avait institué comme emblème de sa présence au milieu de son peuple. Le culte qui se déroulait au temple attestait le lien qui existait entre Dieu et le peuple d’Israël. Le temple était une façon pour les Israélites de s’approcher de Dieu et d’entretenir leur relation avec Dieu. Donc cette taxe annuelle finançait en quelque sorte cette grâce que Dieu avait faite à son peuple, de lui permettre de s’approcher de lui.

Or, que fait Jésus dans ce passage ? Il fait comprendre à Pierre qu’en principe, ni lui (Jésus), ni ses disciples (ici, Pierre) ne sont tenus de payer cette taxe ; et pourquoi ? Parce qu’ils sont chez eux au temple. Personne ne paye pour rentrer chez soi ! On paye plutôt pour le privilège d’entrer chez quelqu’un d’autre. Et le temple, c’est la maison de qui ? C’est la maison de Dieu ! Donc ce que Jésus sous-entend ici (et c’est franchement renversant), c’est que les disciples de Jésus ont un accès auprès de Dieu aussi libre et légitime que s’ils étaient Jésus lui-même, c’est-à-dire des fils de Dieu !

Ça me fait penser à… Yvette. Pendant de nombreuses années, Yvette a bénéficié d’un grand privilège, comme tous les gens qui habitent en France : le privilège de pouvoir voyager confortablement en train, d’une ville à une autre, à condition de payer son billet, bien sûr ! Mais il y a quelques années, Yvette a arrêté de payer ses billets de train, et elle a commencé à voyager sur tout le réseau SNCF gratuitement. Qu’est-ce qui s’est passé ? Elle s’est mariée avec Gilles, cadre à la SNCF, et par conséquent, elle est entrée dans la famille SNCF par alliance et elle a eu part à tous les privilèges de l’homme auquel elle était attachée.

De la même façon, ces quelques versets à la fin de ce chapitre nous disent que lorsqu’on fait confiance à Jésus, on entre dans la famille de Dieu par alliance et on a part à tous les privilèges du Christ auquel on est attaché ! Oui, en raison de sa position, ce que Jésus est en mesure de t’offrir dépasse de loin tes plus folles espérances.

Donc le message de tout ce chapitre que nous venons de voir est bien le suivant : ne tombe pas dans le piège d’imaginer qu’il pourrait exister quelque chose de mieux pour ta vie que Jésus !

Je ne sais pas si vous êtes comme moi, mais personnellement, j’aime bien suivre les débats qu’on peut écouter à la radio ou qu’on peut regarder à la TV, et où des personnalités différentes confrontent leurs idées. Mais il y a une chose que j’ai remarquée, c’est que sur ces plateaux d’émissions de radio ou de TV, où l’on retrouve souvent les mêmes personnalités, on invite très rarement de grands intellectuels qui sont aussi des disciples de Jésus-Christ. Quand par miracle un chrétien se trouve sur le plateau, c’est généralement pour servir de défouloir au reste du panel. On en croirait presque qu’il n’existe pas, de nos jours en Occident, de grand intellectuel qui soit en même temps un chrétien authentique.

Il y a un grand magazine américain qui publie chaque année la liste des intellectuels les plus influents dans le monde. J’ai consulté la liste la plus récente, qui concerne l’année 2014, et de la première à la dixième place, on trouve, dans l’ordre : un athée, un musulman, un athée, un catholique non pratiquant, un athée, un Juif, un athée, un athée, un Juif agnostique, et un athée. Qu’est-ce que ça veut dire ? Ça veut dire que si aujourd’hui vous dites croire en Jésus et vouloir le suivre, vous devenez nécessairement la cible d’une pression énorme, exercée sur vous par l’élite intellectuelle du monde occidental.

« Car la parole de la croix est folie pour ceux qui périssent, mais pour nous qui sommes sauvés, elle est puissance de Dieu. » (1 Co 1.18)

Alors pour conclure. Le monde dans lequel nous vivons est comme une arène où combattent toutes sortes d’idées, et la foi chrétienne ne semble pas très bien s’en sortir. Et toi, où en es-tu ? Jésus mérite que tu lui accordes plus de crédit qu’à qui que ce soit ou à quoi que ce soit d’autre, parce qu’il a été accrédité par Dieu. Mais pour bien apprécier la place que Jésus doit avoir dans ta vie, il faut d’abord que tu comprennes ce qu’il est venu faire, et il est venu souffrir, mourir, et ressusciter pour toi. Enfin, ce que Jésus est en mesure de t’offrir dépasse de loin tes plus folles espérances, car si tu lui fais confiance, il te fait prendre part aux privilèges qui sont les siens en tant que Fils de Dieu.

Donc malgré toute la pression pseudo-intellectuelle du monde qui t’entoure, ne tombe pas dans le piège d’imaginer qu’il pourrait exister quelque chose de mieux pour ta vie que Jésus !

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